Qui veut parler, un peu, beaucoup.... passionnément?

Je m'appelle Gaël Henderson et je suis barman ici depuis un an, j'ai maintenant dix-neuf ans. En réalité, on m'a forcé à travailler. Qui "on"? Mes parents, j'étais trop renfermé selon eux et trop seul, donc ils m'ont demandé de me trouver un travail où il y avait plein de monde et ici... à mon avis il y en avais plein, plein comme ma poignée de main, non plus que ça! Je souris. Ma vie a changé quand j'avais douze ans, ma soeur jumelle Gaëlle est décédée d'un cancer, la Leucémie. Le traitement n'avait pas marché et moi je me suis retrouvé du jour au lendemain, déchiré, séparé de la personne la plus importante à mes yeux. Depuis ce jour je suis perdu. J'ai lâché le Lycée pour m'enfermer dans ma chambre jusqu'à ce que je trouve ce travail et ce travail, je l'adore! J'ai découvert que j'adorais parler avec des gens déprimés et que j'avais le don de les apaiser. Bon ce n'était pas facile tous les soirs, car certains m'envoyaient c**er et je leur rendais l'appareil et vite fait ils se taisaient et s'apaisaient et même s'excusaient envers moi. Les jours de soleil je suis encore plus de bonne humeur, mais quand il pleut ou orage, il n'est pas question qu'on me parle.

Ce bar était immense et bien décoré, mais sombre avec ses petites lanternes au dessus de chacune des table et des boxes. Je ne sers qu'au bar pour faire les cocktails et parler avec les clients, mais seulement s'ils m'adressent la parole. Là il était près de minuits et c'était le moment le plus achalandé de la nuit jusqu'à deux heures du matin. Je regarde par la porte et chaque fois qu'un client y entrait je voyais la température dehors, là c'était venteux et pluvieux, je soupirai, par chance que la nuit je suis moins maussade quand il pleut, mais dans ses moments, faut pas me chercher. Je suis quand même d'attaque à parler avec les autres, mes clients. Dans le fond du bar deux mecs jouaient aux dards tranquillement, la majorité du temps ça virait en bagarre ce jeu là. Je souris. Les tables et les boxes n'étaient pas encore pleines, une dizaine de personnes seulement et la table de billard était comble de mecs et de femmes qui s'amusaient sans faire de bruit. La juke boxe jouait "The scientist" de Coldplay. cette chanson allait bien avec le temps dehors et mon humeur présente. Deux femmes dansaient devant en se regardant, évidement, je pouvais savoir facilement quelle genre de personne fréquentait ce bar. Des gens vint s'installer à mon bar, enfin, ma soirée commence. Je les regarde du coins de l'oeil et attends qu'on me commende un verre.... ou deux. Je lave pendant ce temps mes verres et les place à leur support au dessus de moi face au clients. L'un d'eux m'interpelle et je m'approche.

Que puis je vous servir?

Je souris, regardant de temps en temps les clients qui entrent et sortent du bar. Parfois je me demande si des créatures surnaturelles fréquentaient les bars comme celui ci. Il y avait deux ans, un soir où je rentrais du médecin, on m'avait suivis et même abordé, mais les yeux de ce mec et son regard, m'avait fait peur, c'est au moment ou il avait sortit ses crocs et avait tenter de me prendre mon sang, mais mes réflexes superbes m'avaient permis de me sauver et rentrer rapidement chez moi. Depuis ce jour, je cherche à rencontrer toutes sorte de créatures. je suis pas indifférent à ce qui se passe en ce moment à Londre.

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Qui veut parler, un peu, beaucoup.... passionnément?

Je scrute la fille devant moi, elle a envgiron mon âge, très jolie son habillement, je me regarde dans le miroir au dessus de ma tête, je soupire. Je portais un simple t-shirt noir très serré dévoilant mes abdominaux et mes muscles, oui par le passé j'ai fait beaucoup de sport, mais je continue un peu à m'entrainer, pas beaucoup, j'ai pas de temps, presque pas, à cause du boulot et du fait que je dors tout le temps. Ces deux choses là essaie de me faire oublier ma solitude et la perte de ma soeur. Depuis ce jour, je suis amorphe et je n'aborde jamais les gens, sauf la clientèle pour leur demander s'ils veulent quelque chose à boire. Moi j'écoute seulement et je parle que si on m'aborde. Je sers le verre à la fille, très mignonne, j'adore ses cheveux, mais la plupart du temps, on ne s'intéresse pas à moi, je suis pas assez parleur pour ça et j'en étais désolé, ma timidité m'aidait pas non plus.

Voilà votre Téquila!

Je lui souris. Mon jeans trop ample pour moi me rendait dévergondé dans mon allure, surtout avec mes bas blancs cachés en dessous et mes baskets rouges vive. Plusieurs filles ayants passé dans ce bar m'avait plus, mais aucune d'elles n'avaient fait attention à moi. La beauté comptait je crois chez les demoiselles en chaleurs. À moins qu'elles n'étaient pas tous libres dans la vie. Je suis qu'un simple humain qui se cherche un peu, mais qui ne se trouve pas. J'ai pas confiance en moi, ça c'est certain! Je sers un autre client et reviens près de la fille, mon prénom était écrit sur mon badge, je lui souris encore quand elle jeta un regard vers moi.

Vous voulez un autre verre? Je vous l'offre!

On merde, moi qui commence une conversation? J'ai mon voyage, jamais je fais ça, j'attends qu'on me demande un autre verre et en plus je le lui offrais! Oh non, et si je l'intéressais pas? Là elle doit croire que je veux l'amadouer pour la mettre dans mon lit et ce soir! Oh non, je n'étais pas de ce genre, mais cette fille me plaisait plus que les autres que j'avais vu déjà dans ce bar. Si elle continue la conversation se sera gagné si non, je m'en remettrais.

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Qui veut parler, un peu, beaucoup.... passionnément?

Je souris à Kassandra et lui apporte son verre. Je la regarde toujours, elle avait l'un de ses charmes, de magnifiques cheveux teint, en faite j'imagine qu'ils sont teints et une fille aussi jolie qu'elle ne devait pas être seule dans la vie. Je fixe un moment le plafond, le miroir au dessus de moi, je me regarde et je soupire, me remets à Kanssandra.

Vous avez un joli nom. Vous aimez venir dans les bars? Je vous ai jamais vu avant.

Idiot, est ce qu'elle veut une conversation? tu la dérange! Pourtant elle m'avait dit son nom, forcément c'est qu'elle voulait me parler. Je lui souris pour être poli, mais vraiment je voulais la connaitre, pour une fois qu'une fille me dit son nom. toutes les filles s'éloigne quand je prononce mon nom. Je pose un second verre devant elle après avoir été servir un autre client.

Je te l'offre celui là aussi.

Je souris. J'espérais juste ne pas la déranger, que je faisais bien. elle me plaisait. J'étais idiot, pas en une journée franchement, mais oui, je voudrais au moins elle ami avec elle.

Si... je te dérange tu me le dis. J'ai été impoli en t'abordant je crois, mais... je te sentais, un peu seule.

Je baisse le regard, franchement, j'aurais pu trouver mieux à dire! Je lui souris pour pas paraitre encore plus idiot. Mon patron m'aborde et me dit d'aller en pause. je souris à Kassandra et je quitte mon poste pour aller dehors prendre l'air. J'en avais besoin. Et si elle m,avait suivit? Oh, ça voudrait tout dire.

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Qui veut parler, un peu, beaucoup.... passionnément?

J'avais oublié de lui dire que je partais en pause, merde, quel mec impoli et détestable que je fais! Je baisse le regard au sol et souris faiblement. Fortement, j'aurais dû lui dire que j'allais dehors prendre ma pause de trente minutes. Je relève les yeux vers elle.

Je suis désolé, je... j'ai pas l'habitude c'est tout. Je... je suis une personne qui ne parle jamais en générale et quand tu as dis que tu étais là pour rencontrer quelqu'un et parler je me suis rendu compte que... ce quelqu'un était maintenant moi.

Je rougis et souris. Je m'allume une cigarette. J'essaie d'arrêter depuis tant d'années, mais je n'y arrive pas, je n'y arriverais jamais. Je prends une bouffer de ce calmant, fixant le sol. Je garde la cigarette dans ma main entre mes doigts et je regarde Kassandra. Son regard fixait ma cigarette.

J'essaie d'arrêter, mais je n'y... arrive pas. Ce n'est pas facile, surtout quand on a rien pour. J'ai pas l'habitude de... converser, car la gente féminine, en générale, me repousse dès que... j'ouvre la bouche. Je ne suis qu'un mec ordinaire ou... peut être pas du tout.

Je baisse le regard. J'étais surement dans la pire catégorie pour les filles qui se cherche une âme soeur où quelqu'un juste à se mettre dans son lit. Je n'étais pas assez mignon fallait croire. Je regarde la fille qui souriait toujours. Même si elle était là que parce qu'elle avait besoin de parler, je serai là jusqu'au bout pour l'écouter. Personne ne veut entendre mes problèmes, d'ailleurs j'en ai trop. La perte de ma soeur il y a sept ans m'a rendu, solitaire, détestable et timide. Je n'ai plus rien fait, sauf des entrainement physique dans ma chambre, seul. J'ai lâché l'école, je n'ai pas fini mon Lycée et depuis ce jour je suis seul à chercher quelque chose qui pourrait me faire voir la vie, mais rien. Ce ne serait pas un humain qui m'aiderait, car quand je parle de ma vie, ils s'éloignent tous croyant faire affaire à un cinglé né.

Je travail au bar depuis un an, il m'aide à me remonter le moral, c'est la seule activité que j'ai, le reste du temps je dors.

Je soupire, nom de dieu, pourquoi je lui ai dit ça? Je m'étais jurer de ne rien dire sur ma vie. Je la regarde et souris faiblement en guise d'excuse. Oui le bar était ma passion, mais j'avais aussi le dessin que je faisais quand je n'arrive pas à dormir et la guitare, mais il y a longtemps que j'en ai pas joué, elle traine dans le fond de ma garde robe. Je pris une autre bouffée de ma cigarette.

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Qui veut parler, un peu, beaucoup.... passionnément?

Je souris faiblement rebaissant le regard à nouveau, tout ce qu'elle venait de dire, m'avait touché et enfin de compte, c'était qu'elle voulait aussi fumé qu'elle m'arracha ma cigarette. Je souris à ce geste, Pourtant aucune fille ne voulait de moi, parce que je n'étais pas attirant, mais elle me disait le contraire en me... touchant, à ce moment je devins nerveux. Personne ne me touche! Je recule d'un pas, le regard baissé. Elle essayait surement de m'aider d'une façon en me disant de sortir plus, mais ce n'était pas moi, non, j'avais peur de sortir. Pis elle m'offrait de me montrer? Hum, trop proche cette idée.

Je... je suis pas comme ça, je suis bien comme ça, à quoi ça me servirait d'être libre si me renfermer m'aide d'une certaine façon? Non je ne peux pas, j'ai... trop de crainte à propos de l'extérieur.

Oui beaucoup trop, depuis ce jour ou un vampire a faillit me tuer en pleine nuit, quand je sortais moi même dans les bars, quand j'avais décidé de vivre ma vie. J'avais faillit y couter ma vie, depuis, plus question que je sors! Je soupire et lui donne une cigarette, même deux, bon, c'était pas la meilleure chose à faire, mais, ça prouverait ma gentillesse.

Je suis pas... celui que les filles aiment en générale, je suis pas de leur genre et toi, tu me trouve canon? Tu es bien la seule! Je suis juste un mec ordinaire.

J'écrase ma cigarette au sol. Je relève le regard vers elle, bizarrement, elle me plaisait et... j'avais beau être gêné et timide, mais avec elle, je me sentais... bien, apprécié à ma juste valeur, même si je n'avais pas de valeur. Je n'avais jamais vraiment parler avec une fille, sauf Alana, celle qui travaille avec moi, mais de pure étrangères, cela était rare. Oui j'ai déjà songé à avoir une petite amie, mais je voulais la choisir et que se soit la même pour toute la vie, celle qui me donnera au moins un enfant. Je lui souris.

J'ai eu une mauvais expérience une nuit il y a deux ans, depuis cette fois là je n'ose plus rien faire, alors, je me méfie des vampires, j'ai faillis me faire tué par l'un d'eux.

Je soupire. Cette fille avait quelque chose de spécial, son regard magnifique m'envoutait et me rendait fou, j'essaie le moins possible de la regarder. Mais vraiment, j'aimerais apprendre à plus la connaitre, à devenir amis et plus, oui, c'est celle là que je veux!

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Qui veut parler, un peu, beaucoup.... passionnément?

Je soupire, je ne sais pas pourquoi, mais... elle essaie de m'aider. Je la regarde vivement, lui souriant souvent. Je ne sais pas, mais... elle me plait physiquement et plus elle me parle, plus elle me plait en son intérieur aussi. Moi je suis détestable parce que je suis renfermé et je parle pas beaucoup. Surtout que... tout ce qu'elle me dit c'est des choses que je ne peux avoir ou faire. Je n'ai pas d'amis depuis sept années et je ne sors plus depuis deux ans et même depuis sept ans. Je baisse le regard, des Hybrides dit elle? Mais c'est quoi ça?

Hybrides? C'est un mélange de quoi?

J'avais l'air ridicule, mais vraiment je ne savais pas que les races de tous ses êtres pouvaient se mélanger entre elles. Je finis ma cigarette et l'écrase au sol, ma seconde cigarette. J'étais déjà en retard pour le retour de ma pause. Je soupire et lui souris faiblement. J'aimerais plus la connaitre, mais... elle était surement du genre à vouloir, changer la vie des gens et moi j'en avais pas envie, c'est tout. Je ne me faisais pas d'amis facilement, sauf ma collègue de bar.

Je... je suis désolé, j'aime pas quand... on décide pour moi, jamais je pourrais faire tout ça. J'ai peur seul la nuit, même en groupe. Je me bat chaque soir avec moi même pour me donner du courage à aller travailler.

Je soupire et la regarde, il était évident que je faisais mon imbécile et qu'elle cherchait à m'aider à sa façon, mais je n'avais pas confiance en moi. Je n'ai pas d'estime de moi, oh ça non.

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Qui veut parler, un peu, beaucoup.... passionnément?

Une fois à l'intérieur, je regarde mon téléphone,elle était le seul contact que j'avais, avec celui du Bar. je fixe longuement le numéro, heureux, souriant qu'elle me l'ait laissé, ce qui signifie que je l'intéresse au moins un tout petit peu. Mon patron me fait sortir de ma rêverie et je retourne travailler, il m'offre même la journée du lendemain, trouvant que, j'étais trop blême et que j,avais besoin de repos. depuis un an je travaille sans relâche et sans aucun jour de congé et cela sept jours sur sept. Je finis mon quart et je rentre me coucher.

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Le lendemain je me lève et fixe le numéro de Kassy longuement avant de me décidé, mais encore là je pris mon petit déjeuner et je dis bonjours à mes parents et je sors pour la première fois depuis des années ma guitare acoustique. Je joue un morceau tout en regardant mon téléphone, me demandant si je devais au moins la texter et lui demander de passer la journée avec moi, mais j'étais timide et craintif. Je lâcha ma guitare au bout d'une heure, l'avant midi était passé et je texte trois mots et mon adresse.

*Rejoins-moi, Gaël*

J'attends sa réponse, voir si elle est toujours intéressée par moi et à vouloir m'aider même si l'idée de vouloir essayé de sortir me faisait peur encore aujourd'hui. Va falloir que je me trouve un Hybride comme elle les appelle pour me protéger, mais encore là cela me faisait peur. je descends dehors pour l'attendre et je regarde mon téléphone à l'attente d'une réponse de sa part par message texte.

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Qui veut parler, un peu, beaucoup.... passionnément?

Plusieurs minutes après que je lui ai envoyé mon texto, elle me répond qu'elle arrivait. Je souris heureux. Sûr que j'allais forcément l'attendre longtemps, mais ça me donnait le temps de fumée un peu au moins deux cigarettes. Oui je fumais beaucoup et je savais que c'était pas bon, mais c'était ce qui me rendait le plus calme, quand je me sentais pas bien. J'arrange mon chapeau et mes verres fumée quand je la vis arriver à moi. Je souris, elle était magnifique, malgré que... je l'avais surement réveillé. Moi j'avais de la misère à dormir, je dors tout au plus trois heures par nuit, pas plus. Je pose un doigt sur son bras en guise que je suis content de la voir.

Salut, je t'ai réveillé? J'en suis désolé.

Je baisse le regard, nerveux et honteux d'avoir osé faire ça à une fille que je ne connais pas encore, mais je veux la connaitre, devenir son ami. Je lui souris pour pas trop paraitre nerveux. J'avais une question et je me demandais pourquoi moi, pourquoi elle m'avait donné son numéro même si elle ne me connaissait pas. Je souris encore.

Pourquoi... tu veux qu'on se revoit? Si tu m'as laissé ton numéro c'est pour une très bonne raison. Personne n'a jamais fait ça avec moi. D'habitude on ne me réadresse jamais la parole quand on réalise que je suis un cas... désespéré.

Je soupire, oui j'étais un cas désespéré, je ne m'aimais pas personnellement, je n'aimais pas ce que je suis et encore moins ce que je vais devenir ou rester. Célibataire à jamais, ne pas réaliser mes rêves, être amoureux et fonder une famille. Pour ça fallait que je trouve l'amour de ma vie et qu'elle ait les mêmes valeurs familiale que moi. Parce que, mon rêve ne sera pas réalisé si ma partenaire n'aime pas les enfants ou n'en veut pas. Cette fille devant moi, me plaisait, mais je la connaissais pas et elle me connait pas non plus, mais lorsqu'elle saura que je suis un cas désespéré, elle fuira comme toute les autres, ce n'est que mon impression.

Tu veux.... passer la journée avec moi? J'aimerais... qu'on devienne ami si ça te dit. Des amis, on en a jamais assez.

Je souris, moi j,en avais pas et Kassy avait osée me parler la veille, donc, je veux pas la perdre et perdre espoir d'avoir de la compagnie quand je suis seul.

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Qui veut parler, un peu, beaucoup.... passionnément?

Je lui souris, bon, cette fille voulait m'aider, mais je sentais qu'elle n'aimait pas que je parle de moi et de toute façon je n'ai plus rien à dire, vu que j'ai passé toutes ses années à être un genre de robot qui fait toujours la même chose. Je souris de nouveau et je regarde le ciel, je cherche de quoi lui dire de positif, mais je ne sais pas quoi. Réfléchis Gaël, t'es un bon garçon et tu dois changer si tu veux qu'elle s'intéresse à toi et que vous finissiez par être ensemble dans le futur.

Au fait tu... tu as quel âge? J'en ai 19! Et oui, si tu sais comment, je pourrais surement m'amuser avec toi, Ça me changera les idées.

Je souris et décidai de jeter mon paquet de cigarette dans la poubelle à coté, c'est définitif, à partir de maintenant je ne fume plus et je sais que je serais capable de me contenir. Je la regarde, l'examine quoi, j'adore sa façon de s'habiller, elle est vraiment jolie. Je lui souris, mais un vrai sourire de charmeur.

Tu sais, tu es très jolie. J'adore tes cheveux et ton visage. Tu m'as l'air spécial.

Je prends sa main sans hésitation, juste par curiosité. Sa peau était si douce, je n'avais aucune envie maintenant de lâcher sa main. Je la sers un peu dans la mienne. Je la regarde.

Amène moi là ou on pourra s'amuser. Je veux voir ce que c'est de sortir de... sa bulle, quoi.

Je ris et lui fis de joli yeux, bien sûr, je retire mes verres fumé et je la regarde gentiment, pas comme ceux que je fais d'habitude quand je regarde quelqu'un. Non je lui fais mes yeux de tombeur, les yeux quand quelqu'un me plait autant pour le sexe que pour tous le reste. Je cherche encore du comment pour apprendre à la connaitre. Oui, je veux la connaitre savoir tout d'elle.

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Au final je devins gêné, mais amusé par la situation, l'idée d'aller au parc d'attraction, la dernière fois ça remonte avant la mort de ma soeur, quand nous avions 4 ou 5 ans seulement, je m'en souviens pas tellement. Je souris à Kassy, son idée me plaisait et le fait que nous avions qu'un an de différence ne me déplaisait pas non plus. Elle me plaisait beaucoup. Je l'avais vu dans son regard que... elle n'aimait pas que je parles de moi, que je parles de mes problèmes personnelle, je vais devoir tout laisser ça de coté. Faire semblant de ne pas être renfermé quoi! Je lui souris de nouveau. Elle me trouvait canon, dans un sens quoi et moi qui disait que je ne plaisais pas aux filles. Je soupire de honte, franchement c'est surement tout le contraire, ce n'est que mon caractère et mon manque d'estime qui les faisaient toutes éloigner, mais celle là est rester, mais si je continue comme ça, elle va s'enfuir à son tour, et je ne veux pas ça. Je ne lâche pas sa main, faut bien débuter quelque part.

D'accord, je sens que je vais bien m'amuser!

Je lui souris, un vrai sourire, les yeux brillants de bonheur. Je la regarde avec passion, nous étions à notre première journée d'amitié, je ne pouvais pas lui dire qu'elle me plaisait, dans tous les sens du terme, même pour le sexe, même si... je n'ai jamais vécu ça, je n'ai... eh bien, je suis encore puceau quoi! Je rougis sans me douter que Kassy l'avait surement vu. Vraiment, quand je rougis ça ce voit pleinement! Je la regarde et baisse le regard timidement.

On y va?

Je ne lâche toujours pas sa main. Comment lui montrer qu'elle me plait? Je veux pas le lui dire directement, mais avec des gestes amicaux ou doux.Je me décide donc à caresser le dessus de sa main avec mon pouce,seulement ça pour commencer et peut être plus dans quelques semaines, dû moins lui montrer qu'elle me plaisait et que peut être un jour ça ira plus loin elle et moi.

Tu as la peau si douce!

Subtile oui, je lui souris et on commence à marcher vers le parc.

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Qui veut parler, un peu, beaucoup.... passionnément?

Je ne lâchai pas sa main pour le moment, mais au final je vais finir par le faire. Je ne fais que réfléchir à ce qu'elle venait de me dire juste avant d'entrer dans le parc. Maintenant je ne sais plus comment agir, je devrais rester au neutre alors. J'avais sentis qu'elle n'aimait pas mon comportement de la veille et celui d'il y a trente minutes, mais là elle me gênait. Pourtant elle disait que mon nouveau comportement lui déplaisait pas, mais moi ça me rendait mal à l'aise. Peut être que... je me trompais, qu'elle n'avait pas l'intention de me vouloir plus que comme un ami. Le lapin qu'elle me montrait était vraiment jolie, je l'écoutai, je savais qu'elle voulait que je le lui gagne. Je ne pouvait pas garantir que je le gagnerais, mais je pouvais essayer. J'étais bon au basket. Je lâche sa main.

Tu le veux?

Je lui souris et j'achète trois partie. Je commençai à lancé le premier ballon, que je réussis, je devais avoir les trois pour gagner le gros lapin. Je me concentre. Je réussis les trois paniers et on me donna le lapin que je tendis à Kassy d'un magnifique sourire que je lui donne.

Tiens!

Je regarde le parc et cherche un autre activité. Personnellement je n'avais pas voulu répondre à ses questions, je ne savais pas quoi répondre. Je trouvai une attraction intéressante. La grande roue.

Un tour de grande roue, ça te plairait? Et une barbe à papa?

J'allai en acheter deux sans attendre sa réponse, j'étais heureux en ce moment, bien dans ma peau, mieux que la veille. Je m'amusais quoi. Je reviens vers Kassy, elle tenait son gros lapin rose sous son bras. Je lui tant une barbe à papa rose, la mienne était bleu. Un photographe du par nous pris en photos et nous la donna, un genre de polaroid.

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Je ne m'étais pas rendu compte de ce qu'elle venait de faire, tout! Assis dans la grande roue regardant l'horizon, j'avais les pensées ailleurs et c'est lorsqu'elle mit sa main sur mon genoux et qu'elle me pose encore ses questions que je réalisais que... je ne m'étais pas rendu compte qu'elle avait été folle de joie que je lui ais gagné le lapin et qu'elle m'avait embrassé sur la joue. Plus tôt j'avais cru qu'elle voulait être qu'une amie et tout était possible, ma solitude de d'habitude, me mélangeait, car là, je n'étais pas seul, je m'amusais pour la première fois depuis sept ans et tout ça faisait un déréglage chez moi. Elle me trouvait soudainement distant, mais pourquoi? Juste à son regard de se matin, j'avais compris qu'elle n'aimait pas mon attitude de la veille et j'essayais de changer, mais encore, ça ne faisait pas son affaire, comment vais je y en arriver de la sorte? Ce n'était pas facile pour moi. Du jour au lendemain, je devais changer pour plaire à quelqu'un, mais d'habitude ça peut prendre des mois avant de changer. Je regarde ma barbe à papa bleu que je n'avais pas encore touché. Je pris donc deux doigts et je tire sur la sucrerie pour en mettre un bout dans ma bouche et la laissai fondre sur ma langue. Je regarde Kassy.

T'inquiètes, tout va bien, je vais... parfaitement bien...

Je lui souris et me penche vers elle pour embrasser sa joue, pour ne pas l'inquiéter. je finis rapidement ma sucrerie et je mets le bâton dans ma poche. Comment lui expliquer mes sautes d'humeurs du moment? Je ne savais pas. C'était compliqué.

Écoute, je suis... mélangé. J'ai vu dans ton regard ce matin que... tu n'aimais pas mon attitude, mais je suis comme ça depuis 7 ans et ce n'est pas aujourd'hui que je réussirai pleinement à changer et j'en suis désolé. En ce moment, je suis bien et heureux, je ne me suis jamais autant amusé depuis mes 5 ans. C'est la dernière fois où je suis allé dans un parc d'attraction avec ma soeur Je soupire. Ma vie a été difficile ces derniers temps et... grâce à toi, elle commence à changer, mais seulement, j'ai peur qu'un... qu'un jour, on ne se voit plus du tout, lorsque je serais guérit de ma solitude. Souvent je me sens abandonné et beaucoup trop, je sais, je dois remédier à ça, mais ça m'est difficile. Si je change sans arrêt c'est parce que j'ai de la misère à rester au même point, de temps en temps, des chose négatives me reviennent et je ne sais pas comment les faire partir. Je suis bien ici, mais sans cesse je revois moi et ma soeur courir vers la grande roue quand nous avions 5 ans.

Je baisse le regard. Je me sentais mal, parce que de vieux souvenir heureux me revenait et... j,avais peur de prendre Kassy pour celle que j'ai perdu, car je ne veux pas qu'elle ne soit qu'une amie, éventuellement, je la voudrais pour plus encore. Tomber amoureux d'elle, me plairait, car déjà, elle m'attire profondément, elle est en tout point mon genre de fille.

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Qui veut parler, un peu, beaucoup.... passionnément?

Je frissonai quand elle me toucha si intimement, vraiment façon de parler, jamais on ne m'avait touché de la sorte. Je rougis et je l'avais vu rougir tout à l'heure après que je l'ais embrassé sur la joue. Notre tour de roue finissait et je n'avais pas ouvert la bouche depuis qu'elle m'avait embrassé. Je sors de la nacelle et attends Kassy de l'autre coté, mais si je comprends bien... elle... ressentait quelque chose pour moi! Mais, ça ne fait que 24 heures, même pas qu'on se connait. Je ne veux pas que ça ne soit que physique et qu'on se retrouve au lit tous les deux et que ça ne soit qu'une aventure d'un soir. Je la regarde une fois près de moi. Je prends sa main et la traine dans un coin tranquille ou nous sommes seuls.

Kassy, faut mettre les choses au clair... tu... je t'attire, sexuellement?

Je la regarde, moi aussi elle m'attirait sexuellement, mais je ne voulais pas que du sexe, je voulais plus, une relation quoi, oui c'est ce que je voulais.

Je te trouve à mon gout, mais, je ne veux pas du sexe que pour du sexe, je veux... un vrai amour. Je suis... je baisse le regard. Je suis puceau, je l'ai jamais fait.

J'avais honte de le dire, mais je voulais pas du sexe que pour du sexe, je voulais le faire par amour et aimer la chose.

Je... je te demande si... toi aussi tu me veux par amour? Un jour on tombera amoureux l'un de l'autre. Je sais c'est encore tôt pour parler de ça. Mais comme je suis un mec compliqué et qui n'a pas eu d'affection depuis des années, j'ai décidé que ça tomberait sur toi, parce que, tu es gentille et que tu me plais en tout points. Je pourrais t'aimer un jour, je le sais ça! Mais pour le moment nous sommes amis.

Je lui souris et sers sa main dans la mienne.

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